
Photo: Daniel Dubois
Comme si ça ne suffisait pas , la crise du covid ayant vraiment compliquée la vie des communes , son village a été touché par une crue centennale . les sinistres se sont ajoutés aux difficultées . Un bonne partie du village s’est retrouvée inondée .
Dans l’histoire , il fallait remonter au soir du dimanche de pentecôte de 1864 , pour trouver un tel événement , une trompe d’eau extrême c’était abattue avec violence sur les bois communaux en amont du village .
Louis Grumel ( 1853 1929 ) qui était alors enfant de cœur a été témoin oculaire de ce spectacle peu commun.
L’eau du Buizin c’était répandue partout dans le village , un peu plus haut dans le même quartier les moutons de joanny ont eu la vie sauve en se réfugiant sur une hauteur , et près de l’église entre le quai et la rue ferrachat , l’enclume du forgeron fut renversée par la poussée du courant , c’est dire la crue était forte .
Un autre témoin un vigneron de Vaux disait que l’inondation de 1864 lui avait emporté ses meilleures bouteilles de vin vieux .
Est-ce le réchauffement climatique , aujourd’hui , qui permet de tels dégât ?
En 1864 nous sommes sous Napoléon III et on ne parle pas de réchauffement climatique , et pourtant il y a eu cet épisode qui est resté dans la mémoire du village .
En tout cas pour la Maire , Madame Veysset Rabilloud , c’est beaucoup de travail .
Daniel Dubois