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C’est vrai que c’est une belle histoire et d’abord cette photo où l’on voit le protagoniste, le créateur qui a repris l’intégralité de l’entreprise créee dans les années 80.
Adrien de Schompré, a eu la main heureuse un investissant dans l’affaire Shushi Shop il y a quelques années. Véritable succès, l’histoire s’est terminée par une magnifique vente à 240 millions d’euros.
Sushi shop avait fêté ses 20 ans et c’était un cas unique d’un paysage en pleine mutation de la restauration à domicile. Elle disposait de coursiers qui livraient des gammes de sushi sans cesse nouvelles. Son réseau de 160 points de vente dégageait un chiffre d’affaires supérieur à 200 million d’euros. Bref, l’entreprise a été vendue en pleine croissance en 2018.
Très bon timing, avant la catastrophe du covid en 2020.
Et voilà notre chef d’entreprise qui s’intéresse à MATSURI.
L’histoire de Matsuri commence en 1986. Lorsque le premier restaurant ouvre ses portes rue Richelieu à Paris. C’est un couple franco japonais qui installe ce lieu et marque une véritable révolution dans la restauration japonaise. Ce sont des sushis frais et créatifs du classique nigéri saumon, aux signatures taco nori.
Il introduit pour la première fois le concept de comptoir tournant, libre-service ou des assiettes colorées permettent aux clients de composer leur repas comme ils le veulent.
À ce jour Matsuri regroupe 13 restaurants en France dont 12 en propre et un en franchise.
Bien sûr ce concept bien installé, va permettre un développement très important. Adrien de Schompré a bien compris le potentiel, et il voit déjà de très nombreuses petites étoiles sur une carte s’installer en France, puis en Europe.
On peut être sûr que Matsuri va se développer d’une façon très importante.
Pour le moment le restaurant de la rue neuve a été entièrement rénové. Et c’est presque une nouvelle enseigne qui s’illumine près de l’église Saint-Nizier.
Pour couronner le tout une très dynamique directrice de 23 ans seulement, sera à la tête du lieu. Sana Zoureg cumule le charme et l’efficacité nécessaire dans un lieu aussi central de la ville.
La danse des mets, a commencé, et déjà les clients se pressent.
Daniel Dubois