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C’est un dossier pas facile, après un échec retentissant : la Cité internationale de la Gastronomie tente une réouverture.
Trois expositions sont prêtes pour accueillir du public ces prochaines semaines. Le piano de Paul Bocuse est toujours là, mais les mères lyonnaises ont disparues. Régis Marcon insiste pour que l’art du service à la française, ait son exposition.
Les prix d’entrée très importants ont été revus à la baisse. Ce sera gratuit pour les mineurs et pour lancer la cité, la Métropole a décidé une gratuité ouverte à tous jusqu’à fin novembre.
Les Lyonnais et les touristes vont-ils trouver leur bonheur ?
À l’heure où les nuages s’amoncellent sur l’Hôtel-Dieu avec la fermeture de nouvelles boutiques aux Halles, Il faudra attendre pour savoir si cette fois c’est un vrai départ pour la Cité internationale de la Gastronomie de Lyon. Il reste un cuisinier qui garde le flambeau, de la gastronomie justement, c’est Mathieu Charrois qui lui aussi est dans ces murs. Mais c’est une autre histoire, celle du présent cette fois-ci.
Daniel Dubois